Le Président Bassirou Diomaye Diahar FAYE: un homme à écouter, à la fois, avec le cœur et l’esprit (Par Malick Mbow)

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Le Président Bassirou Diomaye Diahar FAYE : un homme à écouter, à la fois, avec le cœur et l’esprit.

Portrait de SEM Bassirou Diomaye FAYE - 5ème Président de la République du Sénégal © Malick MBOW
Portrait de SEM Bassirou Diomaye FAYE – 5ème Président de la République du Sénégal © Malick MBOW

A priori, Le Président de la république est le Président du peuple et se confond au peuple. Jamais nous n’avons vu un président aussi courtois aussi simple aussi modeste mais bourré de respects et de « Guis Guise » quand il l pose des actes.

Déjà, il a refusé, il faut le dire, à donner une interview en France pour réserver la primeur de ses 100 jours d’exercice du pouvoir à la presse nationale et conséquemment à son peuple, aux Sénégalais qui l’ont élu. Sa qualité se résume sur son franc-parler, dans un français ou ouolof très digeste bien que largement profond.

Il est aussi simple que ce que son apparence nous laisse entrevoir jusqu’à donner une nouvelle définition à la politique, la résumant à deux choses : savoir conduire et savoir servir et non pas savoir diriger et savoir donner.

Les philosophes ont, en ce sens, de la matière donc de quoi philosopher. Pour savoir conduire, il faudra bien tenir le volant, se concentrer et ne pas se laisser distraire. Chez nous, nous avons le temps de « discourir » pour peu de résultat, ce qui se résorbe à des anathèmes et nous sommes les champions en la matière.

Le Président Diomaye semble vouloir changer de paradigme et en appelle à tous les Sénégalais épris de progrès et soucieux du développement harmonieux de leur pays. Un pays combine deux choses : établir des règles et les appliquer et ce, pour avancer.

Ces règles se reposent sur la rigueur (la droiture) et non le « Maslah» c’est « jubanti » pour dire redresser et en ce sens que Le mot « diriger » révèle non pas de la rigueur au premier degré mais du « dirigisme » un peuple n’a pas besoin d’un dirigeant mais plutôt d’un conducteur bienveillant, ayant un bon flair de tout ce qui peut mener son peuple de l’avant. Le nouveau chef suprême écoute et gère avec ses convictions et l’écoute du peuple avant l’application.

C’est la raison pour laquelle nous avons beaucoup de concertations en ce moment mais également des journées d’étude et autres (le vocable importe peu et seul le contenu est intéressant pour ne pas dire les conclusions et recommandations). Le populisme est le contraire de cette nouvelle vision Incarnée par l’Etat du Sénégal.

Certes il y’a un projet consenti en interne avant de le soumettre au peuple qui va certainement y adhérer vu l’espoir porté sur cette nouvelle génération d’hommes politiques mais il faut, maintenant, un grand ensemble uni dans ce projet pour mieux le porter après y avoir cru. Le peuple attend encore car le penalty est là.

C’est les élections puis le coup de sifflet. On désigne la faute et maintenant ensemble, transformons ce but en victoire. Pour ça il faudra que le temps de la victoire soit le double pour la transformation totale du Sénégal nouveau.

Ainsi les nouvelles autorités à travers ce Premier Ministre Ousmane SONKO que l’on dirait « le populaire » au-lieu de « le populiste » soient a l’écoute du peuple qu’elles auront à servir la part du cadeau à chaque citoyen de ce pays.

Hier encore, dans son entretien avec la presse le chef de l’état disait et c’est tellement vrai, que chaque citoyen rêve d’un toit nuit et jour et que ce n’est pas normal, c’est à la limite vache, qu’un petit groupuscule de Sénégalais se partagent les terres qu’ils reviendront à d’autres pauvres Sénégalais, du fait de leur proximité avec les gouvernants ou simplement de leur roublardise.

Il faudrait que ça cesse, comme dirait Feu le syndicaliste NDIAYE. Désormais « Jubal » doit forcément gagner du terrain pour atteindre « nos « objectifs dans les meilleurs délais, le partage équitable du bien de tout un peuple dans le respect des principes de l’Etat, autrement dit, servir équitablement son peuple.

La voie est ouverte et elle est bonne, le Président Diomaye et le PM Ousmane sont au-devant, suivons-les pour le triomphe du Jub, Jubbal, Jubbanti qui est la seule chance de salut pour le Sénégal.

Autoportrait de Malick MBOW - Architecte
Autoportrait de Malick MBOW – Architecte

Thia kanam.
Malick MBOW Architecte

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