Le Mouvement Croissance à deux chiffres (C2C), s’est félicité du discours à la Nation du chef de l’Etat. Il avait soutenu, en substance, « qu’avec un taux de croissance estimé à 6,8% en 2017, et une perspective de plus de 7% en 2018, nous enregistrons pour la 3e année consécutive, une des meilleures performances économiques en Afrique ».
Dans le communiqué, Salihou Kéïta et ses camarades vont plus loin, notant qu’il est possible d’atteindre, sous peu, une croissance à deux chiffres. Mais, pour ce faire, un intense travail de formation et d’accompagnement des jeunes et des femmes, est nécessaire.
Le Mouvement Croissance à deux chiffres, qui pense que la redistribution des fruits de la croissance est le plus important, promet de continuer le travail de vulgarisation des réalisations du Gouvernement et la réflexion, pour montrer qu’il est effectivement possible d’aller vers une croissance à deux chiffres, rapporte le journal La Tribune.
Selon M. Kéïta et ses camarades, les réalisations annoncées d’hôpitaux, de routes, de lycées, entre autres, montrent qu’il y a une véritable redistribution des fruits de la croissance engendrée par la mise en branle du plan Sénégal émergent (Pse), « référentiel » de notre politique économique et social.
Dans les colonnes du journal, les membres de ce Mouvement sont d’autant plus convaincus que si la tendance actuelle se maintient avec notamment les exploitations du pétrole et du gaz, la croissance à deux chiffres ne va pas tarder.
Ils saluent, d’ailleurs, les performances du Président Macky Sall, estimant que jamais dans l’histoire politique du Sénégal, un chef de l’Etat n’a posé autant de réalisations en si peu de temps. Ils encouragent le président de la République à aller de l’avant car, avec toutes les réalisations qu’il est en train de faire en faveur des Sénégalais, il n’aura pas besoin de battre campagne pour l’élection présidentielle de 2019.
Le Mouvement Croissance à deux chiffres pense que les Sénégalais sauront choisir le vrai patriote, qui ne pense qu’à leurs intérêts à la place d’«aventuriers, sans programme ».
source : Leral