Ce matin j’ai mal. De ce mal indicible mais en même temps, ho paradoxe ! de soulagement de le savoir ne plus souffrir de cette sciatique que nous partagions lui et moi.
Ce grand frère affable, à la voix de stentor mais rassurante, mais assurée dans ses connaissances muséales, musicales ses compétences culturelles de haut vol dont nous bénéficions tous en Conseil d’Administration du Musée des Civilisations Noires, CE grand frère que lon s ‘enorgueillissait d’avoir comme ami et connaissance, n’est plus !
Tu feras partie des rares hommes dont personne ne dira du mal. Tu as réussi dans ton humilité, ta discrétion légendaire, à communaliser notre profond attachement à ta personne si adorable.
Il nous reste à te laisser aux mains de ton Seigneur à qui il a plu de te façonner à sa guise. Quil te reçoive sur sa droite, qu’il t’absolve, qu’il entende et accepte nos prières pour toi si cher grand frère ! « Wato sita » disais tu ? Rassure toi grand frère, le temps n’effacera pas ton empreinte dans nos cœurs ! Par Lamine Sambe
