Tenons ici et maintenant, à cette occasion, l’opportunité de » REMODELER » de fonds en comble, la Biennale de Dakar, dans tous ses aspects : artistique, organisationnel, conceptuel, économique, etc…
Ce n’ est pas dans sa forme actuelle qu’elle intéressera le monde.
Arrêtons d’en faire un événement de prestige..
À l’instar d’autres Biennales, foires et autres à travers le monde, le DAK’ Art est doit être cette plate-forme d’échanges, de rencontre entre les acteurs de l’art dans leurs diversité : artistes, galeristes, collectionneurs, conservateurs de musée, mécènes et critiques d’arts pour penser et repenser, redéfinir la place qui doit être celle des arts africains dans le concert culturel mondial et le » marché’ ‘dit de l’art. Que l’ on ne décrète pas en passant, comme certains veulent nous le faire croire en introduisant dans l’organisation de la Biennale une exposition appelée » MARCHE DE L’ART » et les décideurs, OBNIBULES, suivent ndeyssanne.
Faisons de cette Biennale le véritable marché.
Ce n’ est pas autrement.
Vivement les assises des arts et de la culture.
Arrêtons de copier, de singer des voies et des voix qui ne sont pas les nôtres, notre génie créatif porte tous les leviers pour proposer, déconstruire et même, redéfinir nos conceptions rétives de l’art.
Tahar Benjelloun, dans son livre intitulé MOHA le fou MOHA le sage nous dit : Autrefois, c’était les étrangers qui nous déshabillaient, aujourd’hui, c’est nous qui ôtons nos habillons et les jetons dans les fosses de la honte.
BAAL LEEN MA
Je me suis trompé d’erreur