Babacar Louis Camara, l’ancien internationale de football et président de la convention des Dakarois se préoccupe de la situation de l’environnement à Dakar avec puisque selon lui, de plus en plus notre chère ville de Dakar ressemble comme une ville de l’Inde ou les zébus font partis du décor urbain sans que ça n’émeuve personne.
Et que cela doit cesser avec le concours des ministères de l’Intérieur (sécurité publique) du Renouveau Urbain (cadre de vie), de la Santé et du Tourisme et du Service National d’Hygiène.
« De plus en plus notre chère ville de Dakar ressemble comme une ville de l’Inde ou les zébus font partis du décor urbain.
Les Dakarois s’émeuvent et s’inquiètent au détour de la circulation et de leurs déplacements, ces animaux divaguer à travers les artères de la ville. L’éradication de cette hideuse balafre qui affecte le cadre de vie des Dakarois, en plus des hordes de chiens errants est devenue une priorité souhaitée des populations à cause des risques d’accidents grave que cela pourrait engendrer.
Cette prévision dramatique doit nus convaincre de la nécessité absolue de protéger et de sécuriser l’espace publique, dans toutes ses dimensions contre les agressions inconscientes provenant d’un incivisme et d’une indiscipline notoires.
Au moment ou l’Etat invite les Sénégalais à s’approprier le PLAN SENEGAL EMERGENT (P.S.E.) avec de grandes réalisations (AIBD-TER-Parc industriel de Diamniadio…) nous devrions aussi réfléchir sur les autres mesures d’accompagnement pour harmoniser notre vision de l’émergence qui n’est pas seulement économique », a déclaré Babacar Louis Camara dans une note parvenue à la rédaction de leral.net.
« La convention des Dakarois ; force de veille, d’Initiatives et de Propositions interpellent les autorités de l’Etat afin que les municipalités concernées (Ouakam – Ngor-Almadies-Yoff-FANN Mermoz Corniche- Sicap- Vdn- Dakar banlieue et autres ) s’engagent dès à présent à réfléchir sur ce sujet fort alarmant, a ajouté l’ancien international de football.
Avant d’interpeller « les Ministères de l’Intérieur (sécurité publique) du Renouveau Urbain (cadre de vie) de la Santé et du Tourisme doivent s’impliquer en actionnant le Service National d’Hygiène, comme cela se faisait avant l’indépendance du Sénégal.
Si nous voulons que Dakar soit un jour comme Casablanca, Kigali et comme les grandes villes du monde ; une ville moderne, accueillante, nous devons simplement refuser l’inacceptable en réprimant les mauvais comportements par de lourdes amendes. »
source : Leral