Comment avez vous abordez ce combat ?
J’ai pris un coup à l’œil. Tout est possible en lutte avec frappe. Je n’ai pas trop misé sur la bagarre en se préparant en direction de combat. J’étais prêt à mourir rien que pour la victoire. Birahim Ndiaye m’avait prédis que j’allais devenir champion un jour. C’est un combat qui a été lourd à porter. J’ai souffert pour remporter la victoire. Ce n’étais pas facile. Je ne suis prêt à la lâcher, je veux la conserver jusqu’à ma retraite.
Vous n’avez pas tenu parole de se montrer défensif ?
Pourtant je me suis retenu. Mais à un moment, il fallait que je marche sur mon adversaire pour tenter de le saisir. Même s’il fallait y laisser ma vie, j’étais prêt à le faire pour rentrer avec la victoire. C’était la seule issue qui s’offrait à moi pour conserver mon fauteuil de Roi des arènes.Quel adversaire vous allez rencontrer ?
Je ne vais désigner qui je vais croiser. Mais tout ce que je puis vous dire c’est que je vais remettre aux entraînements dans une semaine. J’ai ma couronne entre mes mains, ce qui fait toujours redoubler d’effort pour que je la perde en 2004 face à Yékini.