Il n’est le produit d’aucune École des Beaux-Arts, mais ses créations défient celles des grands-maîtres de l’art. Comptable de formation, artiste par vocation, Mor Faye rêvait très tôt de diplomatie, donc de médiation et de représentation. ENTRETIEN
Il n’est le produit d’aucune École des Beaux-Arts, mais ses créations défient celles des grands-maîtres de l’art. Comptable de formation, artiste par vocation, Mor Faye rêvait très tôt de diplomatie, donc de médiation et de représentation. Mais le décret divin en a décidé autrement.
Cependant, accepter sa vocation n’est-ce pas être en paix avec soi-même ? C’est justement le choix qu’il a opéré.
Artiste plasticien, Mor Faye se sent investi d’une mission divine.
Fort de cela, ses œuvres prêchent un monde pacifique, tolérant, un monde de brassage et d’inclusion où les peuples quels qu’ils soient, ne sont ni côte à côte, ni face à face, mais ensemble les uns avec les autres. D’où sa collection de tableaux intitulée INTERCULTURALITE.
Mor se fait l’avocat défenseur des femmes dans un monde où elles demeurent victimes de toutes sortes de violences, d’injustices et de contraintes alors que lui MURF connaît la préciosité de la femme.
D’où sa thématique sur l’INTERSECTIONNALITE. Est-il de ce point de vue féministe ? Non plus que féministe, Mor se veut humaniste. Allons à la découverte ou à la redécouverte pour certains de cet artiste très demandé en Occident.