Au Gondwana on trouve toujours une parade à tout, même à la CPI. En très très démocratique République, il n’y a pas de problème sans solution. Pas un seul. Par exemple, pour décrocher et garder ton troisième mandat « qui est à toi parce qu’il est à toi », tu as tabassé, chicoté, embastillé, embroché, écartelé, empalé des tas de Gondwanais, et tu en as fait fuir à l’étranger des tas d’autres. Tu sais que le monde entier a froncé les sourcils et tu as mal regardé ; et surtout tu sais que, au tournant, t’attend la fameuse CPI, la Cour pénale internationale.
CHRONIQUE DE MAMANE – Quitter la CPI
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